problèmes liés au Mercure                                           

C'est évidemment le Mercure que l'on connaît le mieux et qui a été le mieux étudié bien qu'on ait répertorié une trentaine (30!) de métaux liés aux matériaux utilisés en bouche.

C'est la forme chimique (ionique ou métallique) sous laquelle le mercure est inhalé (poumon) ou ingéré (tube digestif) qui va déterminer les conséquences toxicologiques:

 Ces résultats sont tout à fait logiques si l'on sait:

                1.- qu'aucune précaution particulière en ce qui concerne l'ordre de dépose  ainsi que le nombre d'amalgames déposés en une séance, n'avait été prise,

                2.- qu'aucune mesure d'accompagnement avant et après la dépose des amalgames n'avait été prévue. Ce qu'il faut savoir, c'est que le Mercure a une demi-vie de 2 à 10 ans suivant la molécule organique (il lui faudra donc 4 à 20 ans pour être éliminé ou que la dose présente ne soit plus toxique, bien que les seuils de toxicité ne soient pas connus!) et qu'actuellement on peut sous contrôle médical utiliser des "chélateurs" qui vont chercher ces métaux dans les tissus; tout en sachant que ces produits sont délicats à manipuler et que leur utilisation peut présenter des dangers. Cependant, il n'existe pas actuellement de chélateurs pour le Mercure qui se trouve dans le cerveau, la barrière hémato-encéphalique étant très sélective.

Les points d'impact préférentiels du Mercure sont le tube digestif, les reins et le système nerveux; ce qui donne une grande palette de symptômes possibles lors d'intolérance ou d'intoxication à la présence de Mercure dans le corps. Un grand nombre de travaux scientifiques a montré la relation statistiquement significative entre certains symptômes, le nombre d'amalgames dans la bouche, et la présence de Mercure dans la salive, dans le sang ou encore dans l'urine.  Les premiers symptômes à apparaître seront en principe liés à ces trois systèmes. La biorésonance permet maintenant de faire le diagnostic d'une intolérance, parfois asymptomatique, qui deviendra peut-être une intoxication symptomatique plus tard. 

En conclusion, il faut prendre des précautions particulières avant, pendant et après la dépose des amalgames.

voici le site de l'association médico-dentaire holistique du Canada, bien au fait du problème mercuriel:                         http://www.amdhq.qc.ca 

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